Comunicado FEBRACTA à Sociedade Brasileira : interesante observacion acerca del tratamiento de las violaciones en el informe de CENIPA

"A Federação Brasileira das Associações de Controladores de Tráfego Aéreo – FEBRACTA –, devida e legitimamente representando significativas Associações de Controladores militares e civis, vem se posicionar quanto ao Relatório Final da investigação do CENIPA do acidente em espaço aéreo sob jurisdição brasileira entre um Boeing da companhia aérea GOL Linhas Aéreas Inteligentes e um Embraer-Legacy da empresa norteamericana Excelair.

Notamos que o Relatório Final apresenta o principal sistema de automatização para auxílio no provimento das separações adequadas entre os tráfegos como estando em condições plenas de uso no dia do acidente.

Este sistema de segurança operacional já vinha apresentando sérios problemas de desempenho e isto era de amplo conhecimento do DECEA, e também do CENIPA na forma dos Relatórios de Prevenção – RELPREV
– emitidos em vários órgãos de controle de tráfego aéreo. Isto é fato.

Comprova-se, no mínimo, com a Conclusão, itens 2.11, 2.12 e 2.13 do Achado I do Relatório de Auditoria do Tribunal de Contas da União – TCU. Isto é fato e foi presenciado por experiente controlador da Federação Internacional das Associações de Controladores de Tráfego Aéreo (IFATCA), dez (10) dias após o trágico acidente em visita de aplicação do Gerenciamento de Estresse de Incidente Crítico – CISM – no ACC-BS.

O Relatório Final também apresenta dificuldade de discernimento entre o que é um aspecto psicológico a ser considerado e o que são práticas que não foram observadas, segundo as normas brasileiras, por pilotos
e controladores (item 5.2.1.1).

O equívoco está no fato de deixar de se avaliar os porquês das violações, em elas existindo, pois são essas respostas as que balizam adequadamente todo Ato Preventivo.

Se não houve o acesso dos investigadores do CENIPA às informações de primeira-mão dos próprios elementos humanos diretamente implicados no acidente, pelas entrevistas de praxe, não haveria como detectar seus aspectos psicológicos a não ser por depoimentos de colegas, o que não foi feito.

A forma disposta pelo Relatório Final no item 5.2.1.1.3 faz-nos crer também que o SISCEAB é feito apenas e tão somente de ATCOs, isto é, de controladores de tráfego aéreo, estejam eles dispostos entre as posições
operacionais nos consoles-radar ou na supervisão ou mesmo como “escassez de pessoal”.

Neste ponto, há desculpas pelo que isto acarretou à Instrução ou à composição adequada da Escala de Trabalho, como se ao ATCO coubesse esse provimento também.

A FEBRACTA esposa a idéia de que o CENIPA, o CECOMSAER, e o DECEA, deixam de atuar de maneira verdadeiramente transparente para a Sociedade Civil brasileira, bem como para a comunidade aeronáutica
internacional, quando alocam recursos estéticos e técnicos para evitar comprometer todo o trabalho da Força Aérea Brasileira, em caráter subsidiário, na consecução do Sistema de Controle do Espaço Aéreo
Brasileiro – SISCEAB.

Torna-se, portanto, urgente a mudança de orientação administrativa dos trabalhadores que são o último elo de segurança deste Sistema. Citamos trecho da Declaração de Voto do Ministro do TCU Valmir Campello, no Levantamento de Auditoria que foi finalizada ainda em dezembro de 2006:
“Trata-se da necessidade urgente de se dedicar a devida atenção ao fator humano, ao contingente de profissionais que efetivamente tem a responsabilidade pelo funcionamento, com eficácia e segurança, do sistema aqui avaliado. Refiro-me aos controladores de vôo. Nesse contexto, considero imprescindível que seja conferida a necessária valorização a esses profissionais.

De fato, o que me parece adequado é que seja criada carreira específica para a área, com políticas de seleção, treinamento, capacitação, remuneração e adequação de ambiente de trabalho, tudo isso compatível com a responsabilidade inerente a tal função

PROCES DU CRASH DU MONT SAINTE ODILE –2ème SEMAINE : L'ERGONOMIE DU COCKPIT A LA LOUPE

Source

Au sixième jour du procès, mercredi 10 mai, le tribunal s’est penché sur l’ergonomie du poste de pilotage, l’un des points sur lequel porte l’hypothèse d’une confusion de l’équipage. Les rangs se sont bien éclaircis tant du côté des parties civiles que du côté des avocats.

Grâce à une animation réalisée par Dominique Mineo, l’assistance a pu se concentrer sur les appareils équipant un poste de pilotage d’A 320 « comme si on y était » sur grand écran.

Une partie du tableau de bord dans le cockpit de l'A320

Cette présentation destinée à éclairer le tribunal mais aussi les parties civiles se voulait pédagogique – comme d’ailleurs tous les exposés techniques- mais elle a permis à Me. Temime, avocat et Hubert De Gaullier expert de l’association ECHO de faire remarquer le peu de visibilité de l’affichage lorsque l’équipage change de mode de descente à savoir vitesse verticale ou angle de descente. Ce qu’a réfuté bien entendu la défense, les avocats d’Airbus qui défendent Bernard Ziegler ayant promis de présenter le lendemain un FCU (Flight Control Unit) pour lever toute ambiguité. L’expert suisse, Pierre Wannaz, pilote chez SWISS étant dans le rôle d’arbitre.

Il a été à nouveau question des deux pilotes au cours de l’audience. Christian Hecquet, commandant de bord, qualifié de professionnel appliqué, calme et prudent avait débuté son parcours en Afrique et, selon Jean Goyschman, ancien officier navigant chez Air-Inter et ami du pilote, celui-ci « connaissait parfaitement la topographie des lieux ». Et Jean Goyschman exclut de la part de Christian Hecquet une quelconque prise de risque. Il est sûr que Christian Hecquet n’a jamais voulu descendre à 3.300 pieds/minute soit quatre fois la vitesse normale. Et Guy Watine confirme : Christian Hecquet « se rendait de suite compte des petits problèmes ».

Joel Chérubin, co-pilote, ancien instituteur est qualifié de « bon professionnel, bien intégré, à l’aise et à la personnalité bien affirmée ». Mais d’un autre côté, il est souligné qu’il « intervient trop dans le déroulement des vols et qu’il materne trop le commandant de bord ».
Guy Watine dans sa déposition ne fait pas mystère : « un mécanicien navigant à bord arrivait à empêcher un certain nombre de problèmes… ». Certes, mais les A320 se pilotaient à deux. D’où au sein de la compagnie Air-Inter un « climat social tendu » comme l’a souligné le président Pierre Wagner. Ce que Alain Le Carrour avait déjà stigmatisé avec force lors de l’audience du mardi 9 mai.
    *************

Jeudi 11 mai, Pierre Wannaz, environ 7.000 h de vol sur A 320 et A 330, expert, avait la tâche de commenter les transcriptions des enregistreurs de vol sauvegardés, à savoir le cockpit voice recorder (CVR) et le QAR ( Quick access recorder) sur les 30 dernières minutes au cours de la phase de descente, notamment la préparation et l’approche. AIRBUS a tenu ses promesses et un FCU avait été installé, à la grande satisfaction du président, toujours aussi pédagogue et soucieux d’une bonne compréhension des problèmes par tous les participants.

Pierre Wannaz souligne d’entrée que la programmation initiale d’arriver sur Strasbourg en ILS23 a été changée trois fois par la suite. De la trentaine de griefs émis par les premiers experts, Me.Beneix avocat de Mme. Cherubin n’en retient aucun qui aurait pu mener à l’accident.

Pierre Wannaz (Photos Cerdacc)

Au fil du déroulement de ces trancriptions, les interventions des uns et des autres précisent tel ou tel point, en critiquent d’autres. Par exemple lorsque Eric Lammari prévenu indique que le contrôleur n’était pas devant son radar de la tour d’Entzheim lorsqu’il a été pris en charge parce qu’il travaillait aux procédures. » Le radar est en plus. Cela se pratiquait habituellement, le trafic ne nécessitait pas de prendre systématiquement le radar ».
Jacques Rantet directeur de l’exploitation d’Air Inter s’étrangle : « je découvre une triste réalité ». Hubert de Gaullier confirme : « Je suis d’accord avec M. Rantet. « Dès qu’il y avait des vols, les contrôleurs étaient derrière leur radar ».

Ce qui ressort de toute l’après-midi, c’est que arrivé au point ANDLO, l’avion n’était plus du tout dans une configuration pour atterrir en VOR DME sur la 05 parce qu’il était à 7500 pieds. Ce que confirme Pierre Wannaz : « dans la logique d’un atterrissage en 023 la hauteur de 7.500 pieds avait du sens. En 05, non ». Et Bernard Ziegler de demander, bien que connaissant la réponse: « est-il normal qu’un équipage n’annonce pas ses intentions avant ? ». Réponse de Pierre Wannaz : « non. Attendre ANDLO pour le faire c’est vraiment très tard. Mais quoi qu’il arrive, les avions à l’atterrissage ont priorité sur ceux au décollage ».
Sont aussi évoqués les désaccords entre les deux pilotes concernant justement le choix de l’approche. Jacques Rantet à qui il est reproché le choix de l’équipage s’insurge : » mon équipage n’a rien fait d’anormal », soulignant l’intervention de son avocat qui disait que les deux pilotes étaient en symbiose.

Le contrôleur de la tour ( qui n’était pas encore Eric Lammari prévenu) avec trois décollages sur les bras, en avait informé l’équipage en lui indiquant un risque d’attente et l’invitant à refaire un passage sur le point ANDLO, soit une attente d’environ 7 à 9 minutes. Qui se sont avérées fatidiques…

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Au huitième jour de ce procès, vendredi 12 mai, Bernard Ziegler avait fait citer Pierre Baud
ex vice-président de la Division essais en vol et vice-président du « Training center Airbus ».
Il sera suivi dans l’après-midi par Jacques Clostermann et Henri Marnet-Cornus, tous deux pilotes et cités par l’association ECHO.

Comme Bernard Ziegler son prédécesseur à la tête des essais en vol d’Airbus, Pierre Baud s’est appliqué non sans conviction à expliquer à l’auditoire, images à l’appui, l’évolution des avions au fil des ans. Instruments analogiques ou cathodiques ? Comparant même les appareils maison à ceux du concurrent Boeing : « nous n’avons rien inventé. L’évolution s’est faite pas à pas, précautionneuse. En aucun cas révolutionnaire… ».
Le président veut savoir si un équipage d’ancienne génération et qui passe sur un A320 de nouvelle génération pouvait perdre des repères ? Pierre Baud ne se démonte pas : « Si l’équipage a été lâché par Air-Inter sur cet avion, c’est qu’il était capable de le manœuvrer avec l’expérience et la maturité nécessaire… ».

Pierre Baud (au centre) en compagnie de maîtres Ndiaye (à gauche) et Buffat (à droite)

Confusion dans le mode de descente ? Une erreur est toujours possible assure Pierre Baud mais « je ne comprends pas qu’on ne capte pas une erreur de cet ordre durant un temps aussi long ». Et de souligner lui aussi que la détection de telles erreurs fonctionne lorsque les pilotes travaillent ensemble, se surveillent mutuellement et font les annonces. A l’appui de ses dires, il sort de son portefeuille une carte format carte de crédit qu' Airbus donne à tous les pilotes en formation et dont la règle d’or N° 5 est claire : consultation permanente de l’écran. Ce qui aurait indiqué la vitesse réelle de l’avion à l’équipage.

Hubert de Gaullier : « ce qui est en cause, c’est la philosophie du FCU concernant l’affichage du taux de l’angle ou la vitesse de descente… ».

Claude Palpacuer procureur trouve la présentation faite par Pierre Baud « très éducative » et s’interroge : « le pilote a-t-il choisi délibérément cette descente de 3.300 pieds ? ». Réponse : « On peut se poser des questions sur la non-communication entre les deux pilotes ». « Avez-vous vu un équipage faire cela (descendre à cette vitesse ndlr) ? ». « En IFR( instrument flying rules ), jamais « . Bernard Ziegler renchérit : « les deux hypothèses sont plausibles. Mais mon intime conviction, c’est la descente volontaire… ».

Cité par ECHO, Jacques Clostermann, 56 ans, commandant de bord chez Air-France, le fils de Pierre Clostermann auteur du « Grand cirque » et l’une des grandes figures de la Chasse française durant la seconde guerre mondiale est lui aussi un ancien de l’Armée de l’air avant d’être devenu pilote dans le civil. Volubile, il ne mâche pas ses mots: « l’ambiance chez Air Inter à l’époque a été à mon avis un facteur contributif grave dans la survenance de l’accident. Conflit important à cause de l’équipage à deux, condescendance d’Airbus à l’égard des pilotes « livreurs de pizzas », aucun retour d’expériences. Il y avait une minorité qui s’est opposée au pilotage à deux. Environ 100 sur 600 pilotes. Il n’y a pas eu de voix de sage pour dire stop, maintenant c’est terminé…Il y avait une ambiance pestilentielle au sein d’Air-Inter. On ne met pas un avion en ligne dans cette ambiance. L’information montait, mais n’était pas répercutée. Le retour d’expérience ? Il n’y en avait pas. On mettait une chape de plomb. On ne voulait pas que ça sorte d’Air-Inter…il fallait permettre le succès de l’avion ».

Dernier témoin cité par ECHO, Henri Marnet-Cornus, 57 ans, à la retraite, ancien commandant de bord chez Air Lib, co-auteur d’un livre récent ( Transport aérien- Le dossier noir- Editions Privé- JAC 64) Pour lui, l’accident était prévisible. Et il énumère ce qui à ses yeux y a mené. Niveau de la qualité dans l’environnement des pilotes, erreurs détectées en amont, défauts récurrents de l’appareil à l’époque, retour d’expériences pas pris en compte, laxisme de l’administration, formation mal faite, appariement de l’équipage…et de conclure en citant encore les accidents du Concorde, de Charm el-Cheikh, de Maracaibo en demandant l’excellence pour le transport aérien.

« Ultrasécurité : une épée de Damoclès pour les hautes technologies ? »

Par René Amalberti

Conférence du 21 mars 2007 dans le cadre des Rendez-vous de La Recherche

Technical Reports and Publications : Aviation Human Factors

The following is a list of selected aviation human factors reports published by Beta Research (BRI). Relevant reports published by other organizations are also listed where appropriate. Copies of most reports can be ordered online. Click the Abstract link for a summary of the report and ordering information.

A partial list of institutional purchasers of our technical reports is also available.

Flight Simulation: Virtual Environments in Aviation. Ashgate Publishing, Ltd., 2005. Abstract

Chapters: 1.Visual Scene Simulation 2.Sound Effects and Communications Simulation 3.Whole Body Motion 4.Handling Qualities and Control Loading 5.Cognitive Fidelity and the Simulator Task Environment 6.Flight Simulators in Pilot Training and Evaluation 7.Simulator Fidelity and Training Effectiveness 8.Limitations in Flight Simulator Design and Use 9.Advances in Flight Simulation 10.Flight Simulation in Research

System Design Alternatives for Simulation Training of Kennedy Space Center Shuttle Landing Facility Personnel. BRI-TR-111204, December, 2004.

Air Traffic Control Communications Simulation: Radio Frequency Chatter and Aircrew Behavior. BRI-TR-140903, September, 2003.

Air Traffic Control Communications Simulation and Aircrew Training. Proceedings of the Royal Aeronautical Society, November 5-6, 2003. London: The Royal Aeronautical Society.

Air Traffic Control Simulation Fidelity and Aircrew Training: A Field Study. BRI-TR-130303, March, 2003. Abstract

Radio Communications Simulation and Aircrew Training. BRI-TR-130901, September, 2001. Abstract

Advance Technology Applications in Flight Simulator Training and Evaluation: Voice Generation and Recognition. BRI-TR-121099, October, 1999. Abstract

Suicide by General Aviation Aircraft: Is Public Safety at Risk? Proceedings of the Human Factor and Ergonomics Society, 2004, pp. 2008-2011. Abstract

Identifying the Factors that Contributed to the Ueberlingen Midair Collision. Proceedings of the Human Factor and Ergonomics Society, 2004, pp. 194-198. Abstract

DWI Convictions Linked to a Higher Risk of Alcohol-Related Aircraft Accidents. Human Factors, 2002, Vol. 44, pp. 522-529. Abstract

An Analysis of In-Flight Impairment and Incapacitation in Fatal General Aviation Accidents. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Society, 2002, pp. 155-159. Abstract

Pilot Error in Copying Air Traffic Control Clearances. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Society, 2002, pp. 145-149. Abstract

The Relationship Between Working Conditions and Commercial Pilot Fatigue Development. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., 2001, pp. 185-188. Abstract

The Role of Weather in General Aviation Accidents: An Analysis of Causes, Contributing Factors and Issues.Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., 2001, pp. 190-194. Abstract

Aviation Accidents and Incidents Associated With the Use of Ophthalmic Devices by Civilian Pilots. Office of Aerospace Medicine, Federal Aviation Administration, DOT/FAA/IAM-01/14, July, 2001. Abstract

The 'Where' and the 'Why' of Cross-Country VFR Crashes: Database and Simulation Analyses. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., 2001, pp. 78-81. Abstract

Analysis of Mid-Air Collisions in Civil Aviation. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., 2001, pp. 153-156. Abstract

Human Factors Analysis and Classification System. February, 2000. (Tech. Report, DOT/FAA/AM-00/7). Washington, D.C.: U.S. Dept. of Transportation. Abstract

Physical and Psychological Impairments of Pilots in U.S. Aviation Crashes. Proc. of the IEA 2000/HFES 2000 Congress, July, 2000, pp. 364-367. Abstract

Does CRM Training Improve Teamwork Skills in the Cockpit?: Two Evaluation Studies. Human Factors, Vol. 41, No.2, June, 1999, pp. 326-343. Abstract

Alarm Related Incidents in Aviation: A Survey of the Aviation Safety Reporting System Database. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., 1999, pp. 6-10. Abstract

Examination of Part 135 Controlled Flight into Terrain Accidents as a Basis for Enhanced Ground Proximity Warning Systems. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., 1999, pp. 11-15. Abstract

General Aviation Accidents Involving Spatial Disorientation. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., October, 1995, pp. 25-29. Abstract

Midair Collisions: The Accidents, the Systems, and the Realpolitik. Human Factors, 1980, Vol. 22, pp. 521-533. Abstract

Air Traffic Control

Air Traffic Control Human Factors and Aircraft Approach Spacing. BRI-TR-251299, December, 1999. Abstract

Analysing Incident Reports for Factors Contributing to Air Traffic Control Related Incidents. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Society, 1999, pp. 1075-1079. Abstract

From prosodics to party line: Human factors of data link communications. Proceedings of the ARINC/FAA Aeronautical Telecommunications Symposium on Data Link Integration. Annapolis, MD., May, 1990. Abstract

Datalink Communications in the National Airspace System. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Society, 1989, pp. 57-60. Abstract

Human Error in ATC System Operations. Human Factors, 1980, pp. 535-545. Abstract

Flight Attendants, Cabin, Passengers

Emergency Evacuation of Commercial Airplanes. NTSB Safety Study, NTSB/SS-00/01. Washington, DC: NTSB, 2000. Abstract

The Comprehensibility of Airline Safety Card Pictorials. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Soc., October, 1997, pp. 801-805. Abstract

Understanding of Aviation Pictograms Among Respondents from Europe and the U.S. Proc. of the Human Factors and Ergonomics Society, 1996, 820-824. Abstract

Fresh Air Plan for Aviation Promises Ergonomic Benefits for Passengers

Fresh Air Plan for Aviation Promises Ergonomic Benefits for Passengers

June 22, 2007
By Jennifer Anderson


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A joint American and European plan that’s all about fresh air is being promoted for its environmental credentials, but its ergonomics credentials are just as noteworthy. The initiative aimed at cutting greenhouse gases will also improve the cost-effectiveness of air travel by cuting fuel costs, and one procedure promises to make it a smoother experience for the flying public by reducing time on runways.

The Atlantic Interoperability Initiative to Reduce Emissions (AIRE), announced in June by the Federal Aviation Administration (FAA), is the second recent initiative with built-in ergonomic benefits.

In a speech to EU partners in AIRE in June, FAA administrator Marion Blakely said AIRE unites government, industry, airlines, manufacturers, and service providers to pull in the same direction behind a single environmental goal. She explained that AIRE will capitalize on existing technology and best practices for cutting greenhouse gas emission in the short and medium terms.

Blakely said the alliance will focus on trajectory ground operations to minimize aircraft flight time, meaning jets will be ushered from the gate to the runway as quickly and smoothly as possible. She told the EU audience to image of a town without the need for streetlights because all of the car movements were synchronized.


Blakely said they will also be using oceanic tailored arrivals heading into the destination as part of the plan. She described the operation as “a low power, continuous descent approach that has planes gliding smoothly in to the runway with minimal power.” It cuts fuel, noise and emissions, she added.


The agency plans to conduct field trials of these different elements on new routes between Europe and the United States in 2007. On the US side of the Atlantic, the continuous descent approach will be tested at Atlanta airport with multiple airlines and with arrivals into Miami.


And in May the FAA expanded a program aimed at reducing flight delays in the peak summer season, when the weather is at its worst. The Airspace Flow Program gives airlines the option of either accepting delays for flights for which storms are predicted en route, or flying longer routes to circumvent them. In the first phase of the program, delays fell by 9 percent compared to the year before, bad weather days at major airports in the region. The program is being expanded to 18 more airports in the United States.


Source: FAA

Debate sobre la tolerancia de los accidentes... entrando en el SMS y sus potenciales conflictos futuros junto a Enrique Pineyro

No se si tenemos ANAC, pero la ANAC ya tiene sitio web

La presidenta ordeno por decreto la creacion de la ANAC el dia 1ero de julio de 2009

Por qué sera necesario hacerlo "por decreto"?

Qué pasa con la decretomania en nuestro pais?

Quién liderara la dura tarea de supervisar la seguridad en esa estructura? Qué lugar tendran los Factores Humanos en la estrategia de prevencion?

Algunas preguntas, por ahora sin respuestas en el sitio de la flamante decretada ANAC

Un juez responsabilizará al Estado nacional por la caída de un avión militar


El magistrado Alberto Suárez Araujo cree que hubo fallas de mantenimiento
de la aeronave que cayó en Los Polvorines y causó la muerte de dos oficiales
en 2006. Los errores apuntan contra el Ministerio de Defensa, a cargo de Nilda Garré

Es inminente una sentencia del juzgado federal en lo criminal y correccional Nº 2
de San Martín, a cargo del Alberto Martín Suárez Araujo, que intervino en el
siniestro ocurrido en septiembre de 2006.

La resolución está basada en distintos detalles que surgen de cruzar información
de testigos, los últimos minutos de contacto entre el piloto y la torre de control
en Campo de Mayo, el libro de vuelo del piloto y los peritajes de la Junta
de Investigaciones de Accidentes.

Las dos posibilidades, fallas en el mantenimiento y en la instrucción de los militares,
ponen la lupa sobre el mal manejo del presupuesto asignado a la ministra
Nilda Garré, al frente del Ministerio de Defensa.

Cabe recordar otros accidentes que se registraron en los últimos tiempos, por ejemplo,
le fuego que destruyo casi por completo el rompehielos Almirante Irizar y la caída
de un Mirage en la localidad bonaerense de Tandil durante una exhibición.

En este contexto, es importante destacar que hace 20 años, por ejemplo, se volaban
cerca de 25 horas por mes, mientras que ahora por el insuficiente dinero asignado
para las operaciones, apenas llegan a 10. Y el piloto del Mohawk accidentado no habría
sumado más de tres al mes, según señala hoy el diario Ambito Financeiro.

De esta forma, el juez Suárez Araujo estaría a punto de informar que la caída
del Mohawk fue producto a una falla técnica seguida de un probable error humano
del piloto por deficiencia en el adiestramiento para resolver emergencias.

Fuente: Infobae



Preguntas :
- las causas del problema de mantenimiento se analizaron?
- cuales fueron las fallas latentes de las mismas?
- Como intervienen los demas estratos gerenciales -militares, ellos-
ademas de la Ministra Garré en las decisiones relacionadas
con la inversion en mantenimiento como medio de prevencion?



INFORMACION PREVIA SOBRE ESTE ACCIDENTE accesible en Sitio del
Observatorio del conoc sur de las fuerzas armadas :

10. Accidente de avión militar: mueren un capitán y sargento del Ejército
En un fallido aterrizaje de emergencia sobre un descampado en el partido
de Malvinas Argentinas el pasado 13 de septiembre perdieron la vida
dos miembros del Ejército que fueron identificados como el capitán
Gonzalo Francisco de la Cruz y el sargento ayudante Roberto Antonio Quesada.
Los dos pilotos militares habían partido minutos antes de Campo de Mayo, en un avión
Grumman OV-01 Mohawk del Ejército Argentino, cuando el desperfecto en uno de los
dos motores les hizo perder altura abruptamente. Aunque pudieron utilizar los asientos
eyectables, los tripulantes habrían decidido no hacer uso de ellos, posiblemente para
evitar que la aeronave cayera sin control sobre las viviendas.
Algunos testigos del accidente dijeron que vieron cómo el avión perdía altura y planeaba
tratando de esquivar las casas de la zona. Luego giró sobre su eje y, boca abajo,
cayó en la improvisada cancha de fútbol, en un descampado.
Según informó el Estado Mayor General del Ejército, la aeronave "efectuaba un vuelo
de rutina ordenado, cuando por causas que se tratan de determinar cayó poco después de
despegar del Aeródromo Militar de Campo de Mayo".
Pasadas las 11.30, el jefe del Ejército, teniente general Roberto Bendini, llegó al lugar del
accidente y evitó dar precisiones. Sólo afirmó que la aeronave tenía "un buen
estado de mantenimiento". Sin embargo, Aníbal de la Cruz, hermano del piloto fallecido,
denunció en declaraciones radiales que la víctima ya había tenido problemas con un motor
de ese mismo avión. En las investigaciones del caso interviene el juzgado federal en lo
Criminal y Correccional N° 2 de San Martín, a cargo del Alberto Martín Suárez Araujo,
que dio intervención a la Junta de Investigaciones de Accidentes de la Fuerza Aérea,
que realizó los peritajes en el lugar de la tragedia
(Ver diario La Nación, sección Información General, 14.09.06)

Fuente del diario La Nacion :

En Villa de Mayo: cayó en un descampado un viejo avión biplaza del Ejército Argentino

Dos pilotos evitaron una tragedia mayor

La pericia de ambos militares, que fallecieron en el accidente,

hizo que no embistiera una escuela y un supermercado

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Jueves 14 de setiembre de 2006 | Publicado en edición impresa
Dos pilotos evitaron una tragedia mayor

Eran las 8.10 y la despoblada cancha de fútbol parecía ser la única alternativa posible

para evitar una tragedia mayor. Apenas dos kilómetros habían alcanzado a recorrer los

dos pilotos militares, que pocos minutos antes habían partido de Campo de Mayo

en un avión Grumman OV-01 Mohawk del Ejército Argentino, cuando un desperfecto

en uno de los dos motores les hizo perder altura abruptamente.

La desolada superficie de tierra y pasto, situada en la esquina de las calles Eva Perón

(ex Wilson) y Perdriel, era la excepción dentro del barrio bonaerense de Villa de Mayo,

en el partido de Malvinas Argentinas. Aunque pudieron utilizar los asientos

eyectables, los tripulantes habrían decidido no hacer uso de ellos, posiblemente para

evitar que la aeronave cayera sin control sobre las viviendas.

Habrían intentado entonces hacer un aterrizaje de emergencia en el descampado,

aunque sin éxito, ya que el avión se estrelló y sus dos ocupantes fallecieron en el acto.

Ambos fueron identificados como el capitán Gonzalo Francisco de la Cruz y el sargento

ayudante Roberto Antonio Quesada.

Algunos testigos del accidente dijeron que vieron cómo el avión perdía altura y planeaba

tratando de esquivar las casas de la zona. Luego giró sobre su eje y, boca abajo,

cayó en la improvisada cancha de fútbol, en un descampado.

"El avión volaba bajo, dio una vuelta, trató de esquivar uno de los camiones estacionados

frente al supermercado y cayó de punta. Inmediatamente se prendió fuego", dijo

a LA NACION Andrea Sánchez, que vive justo enfrente del predio donde se precipitó

la aeronave.

Los restos de la cabina y la cola de la aeronave quedaron desperdigados a

metros de un supermercado, de una escuela y de los cientos de casas bajas que rodean

el terreno.

Falla en un motor

Según informó ayer el Estado Mayor General del Ejército, la aeronave "efectuaba un vuelo

de rutina ordenado, cuando por causas que se tratan de determinar cayó poco después

de despegar del Aeródromo Militar de Campo de Mayo".

El director de Defensa Civil del Municipio de Malvinas Argentinas, Mariano Aguilar,

dijo que el piloto, ni bien salió de Campo de Mayo, había informado a la torre de control

que tenía uno de sus dos motores averiados.

"Cuando salió de Campo de Mayo el avión ya estaba en emergencia. En una maniobra

desesperada, para evitar caer sobre las casas, el piloto trató de aterrizar en este lugar,

dio una vuelta de campana y se estrelló", indicó Aguilar, que fue uno de los primeros

en llegar al lugar de la tragedia.

Pasadas las 11.30, el jefe del Ejército, teniente general Roberto Bendini, llegó al lugar del

accidente y evitó dar precisiones. Sólo dijo que la aeronave tenía "un buen

estado de mantenimiento".

Sin embargo, Aníbal de la Cruz, hermano del piloto fallecido, denunció que la víctima ya

había tenido problemas con un motor de ese mismo avión.

En declaraciones radiales, el familiar afirmó ayer que su hermano "a veces iba a Paraguay

a comprar equipos neumáticos para reparar la máquina que comandaba".

Según su hermano, hacía un tiempo que el piloto "se sentía desilusionado con el Ejército"

"Todo está de terror"

Al ser consultado acerca de las expresiones del jefe del Ejército respecto de la tragedia,

Aníbal de la Cruz señaló: "Me llamó la atención porque dijo que todo anda bien y no

es que ande bien. Todo está de terror".

En las investigaciones del caso interviene el juzgado federal en lo Criminal y Correccional

N° 2 de San Martín, a cargo del Alberto Martín Suárez Araujo, que dio intervención a la

Junta de Investigaciones de Accidentes de la Fuerza Aérea, que ayer por la mañana

realizó los peritajes en el lugar de la tragedia.

María Eugenia Baliño